Orient sur les fleuves des yeux.
Et que serait l'amour, s'il n'y avait le déchirement et l'exil
Ô mon bel amour du Haut tant désiré
Mon bel amour de loin
Voyageur à jamais étranger
Lisant sur la peau humaine
Les présages des hommes des aubes
Je jette les tiges d'achillée
S'écoule la perle d'Orient sur les fleuves des yeux
Comme un souffle errant appelle
L'esprit des morts
Que je meure si je t'oublie
Chasseur des ténèbres de l'
Étoile noire de la Nuit.
Universelle Araigne
Dessinant l'astre dans ses lacs
Vent vanité
Souffle
Insaisissable sont l'âme
Insaisissable le monde
Exilé
Je jette les tiges d'achillée
Des montagnes de l'horizon s'en vient
La brise parfumée
De ton souffle - ou un rêve
Ou de sang peut être
Oh mon amie, mon amie...pourquoi est-il si difficile de vivre, que parfois la douleur donne une voix et un appel au vide ?
Et pourtant il faut aimer le destin
Je jette les tiges d'achillée
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